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Pourquoi pas une rue du Coureur-des-bois?

19 mai 2016

Dans la foulée d'un dossier sur la toponymie au Québec publié dans le «Devoir», les lecteurs se prononcent sur les toponymes à inscrire davantage dans le paysage québécois.

Dans une entrevue accordé à Fabien Deguise, la géographie Caroline Desbiens s'exprime sur les propositions des lecteurs.


Beaucoup plus de boulevards ou de rues Jacques-Parizeau, comme celle que Québec se prépare à lui attribuer. Beaucoup plus de rues Pierre-Bourgault, Benoît-Lacroix, Anne-Hébert, Madeleine-Parent ou Denys Arcand ?

Dans la foulée du dossier du Devoir sur les grands absents et la faible diversité de la toponymie du Québec (« 101, rue de l’Amnésie collective ») publié samedi dernier, des dizaines de lecteurs se sont prononcés, à notre invitation, sur les toponymes qu’ils rêveraient de voir un peu plus se multiplier dans leur environnement.

Une consultation, aucunement scientifique, qui expose beaucoup de figures masculines, quelques artistes, deux dates marquantes et une poignée d’étrangetés pas forcément dénuées d’intérêt.

« Comme la toponymie officielle, les propositions sont en grande partie composées de personnages masculins », constate la géographe Caroline Desbiens, professeure à l’Université Laval mais également membre de la Commission de toponymie du Québec.

Lire la suite de l'article, Le Devoir (14 mai 2016)

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