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Actualités

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Régulariser les migrants sans statut

19 décembre 2022

Ces derniers mois, des mobilisations pour revendiquer la régularisation des personnes sans statut au Canada se sont intensifiées. Les différents groupes et coalitions mobilisés, tels Solidarité sans frontières, le Centre des travailleurs et travailleuses immigrants, la Ligue des droits et libertés, Médecins du monde et le Réseau des droits des migrants, demandent la mise en place d’un programme de régularisation inclusif, clair et transparent à l’échelle nationale.

Ces manifestations visent à faire pression sur le ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, Sean Fraser, chargé en janvier dernier de mettre sur pied un tel programme. Ce dernier est très attendu dans un contexte où la précarité des situations de vie a éclaté au grand jour pendant la pandémie de COVID-19, une réalité créée depuis des années par la nature même et les lacunes de nos programmes d’immigration et d’accueil des personnes réfugiées. […]

Chaque mardi, Le Devoir offre un espace aux artisans d’un périodique. La chronique «Des idées en revues» du 13 décembre présente une version abrégée d’un texte paru dans la revue Relations dont l'une des quatre autrices est la professeure de géographie Adèle Garnier.

PHOTO : Relations (montage Le Devoir)

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La science en Arctique et le réchauffement climatique : une perspective canado-allemande

16 décembre 2022

Le 8 novembre 2022, Reinhard Pienitz, professeur au département de géographie, a été invité par la cheffe de mission adjointe de l’ambassade canadienne en Allemagne, Mme Isabelle Poupart, et l'ambassadeur de Norvège en Allemagne, à présenter l'Université Laval et ses différents regroupements d'expertises dans les grands secteurs de la recherche nordique et arctique, ainsi que le futur Institut Nordique du Québec. 

L’évènement s’est tenu à l'ambassade du Canada à Berlin (Allemagne). La présentation a été suivie d'un débat sur les collaborations actuelles et futures de recherche entre le Canada et l'Allemagne dans le domaine des sciences arctiques, dans le cadre de l'événement sur l'Arctique de la « Semaine Scientifique de Berlin ».

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Vers un premier pôle universitaire autochtone

12 décembre 2022

Le Conseil en Éducation des Premières Nations (CEPN) et l’Université Laval ont signé une entente, aujourd’hui, qui vise à développer un pôle universitaire autochtone, une première au Québec. Un plan d’affaires qui reflète la vision d’études universitaires durables, par et pour les Premières Nations, sera rédigé et devra être approuvé par les leaders autochtones, ainsi que par le ministère de l’Enseignement supérieur.

Également désignée Maison des savoirs, l’initiative se veut une approche holistique de l'éducation identifiée par la volonté des communautés membres du CEPN, pour assurer un continuum d'apprentissage tout au long de la vie, qui s’inspirera des valeurs, des cultures et des langues des Premiers Peuples.

Ce pôle aura une gouvernance majoritairement autochtone et se donnera notamment pour objectifs de répondre aux besoins en formation et en recherche des Premiers Peuples, de reconnaître leurs savoirs et leurs connaissances à travers les contenus de formation, ainsi que d'établir un modèle d'enseignement universitaire propre aux Premières Nations.

Le CEPN et l’Université Laval bâtiront une proposition d’université empreinte des valeurs universitaires que sont l’enseignement, la recherche et les services aux collectivités. L’objectif stratégique du CEPN est d’augmenter la réussite éducative des étudiantes et étudiants et, conséquemment, d’aider les communautés à faire face aux différents enjeux socioéconomiques.

Nous continuons de répondre collectivement à la mise en œuvre des appels en action de la Commission de vérité et réconciliation (CVR), particulièrement ceux qui visent l’accès aux études supérieures et la mise en place d’un système d’éducation par, pour et avec les Premiers Peuples. Le pôle universitaire, soutenu par l’Université Laval dans chaque étape du processus, sera responsable de tous les aspects de l’éducation pour faire en sorte que les langues, les cultures, les visions du monde et les savoirs des peuples autochtones soient respectés.

« Le ministère de l’Enseignement supérieur est très fier d’accompagner et de soutenir les Premières Nations et les Inuit dans la mise sur pied d’un pôle universitaire autochtone. Je suis absolument convaincue que le pôle connaîtra un franc succès et qu’il permettra aux communautés autochtones de faire un pas de plus vers leur autonomisation économique, sociale et culturelle. Je remercie nos partenaires de l’Université Laval pour leur contribution essentielle à la concrétisation de cet important projet », affirme Pascale Déry, ministre de l’Enseignement supérieur.

« Avec l’appui des communautés membres, l’équipe du CEPN est engagée à poursuivre sa mission de continuer à la pleine prise en charge de l’éducation par les Premières Nations. Nous sommes confiants que ce plan d’affaires, qui sera développé conjointement avec l’Université Laval et le réseau universitaire, répondra aux besoins réels de formation des communautés tout en mobilisant et en optimisant le plein potentiel des gens des Premières Nations », déclare Denis Gros-Louis, directeur général du Conseil en éducation des Premières Nations.

« Notre équipe est réellement mobilisée et enthousiaste à l’idée d’appuyer le Conseil en éducation des Premières Nations dans une série d’actions qui ont pour objectif de favoriser l’autodétermination des Premiers Peuples, mentionne Cathia Bergeron, vice-rectrice aux études et aux affaires étudiantes, responsable de la santé, de l’Université Laval. Collaborer à l’accès aux études postsecondaires des personnes autochtones est un aspect fondamental, en parfaite cohésion avec nos valeurs. »

À propos du CEPN

Le CEPN est l’association de 22 Premières Nations du Québec qui œuvre depuis plus de 35 ans à la réalisation du droit des Premières Nations d’exercer leur pleine compétence en matière d’éducation grâce à la mise en place d’un système d’éducation complet, doté de ressources adéquates, conçu et géré selon leurs valeurs et leurs cultures. Pour en savoir plus, rendez-vous sur son site Web au www.cepn-fnec.com.

À propos de l’Université Laval

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Sources :

Conseil en éducation des Premières Nations

Francis Verreault-Paul

Directeur des Services de communication et de relations gouvernementales

418-842-7672 #3001

fverreault@cepn-fnec.com

 

Équipe des affaires publiques 

Université Laval 

418 656-3355 

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Trois questions à Pauline Pic

09 décembre 2022

La stagiaire au postdoctorat à l'École supérieure d'études internationale s'intéresse à la gestion des espaces qui n'appartiennent à aucun pays, mais qui suscitent la convoitise. Pauline Pic, 33 ans, se promène entre Québec, Ottawa, Vancouver et le monde. Ses travaux de recherche portent sur la gouvernance des communs, ces espaces au-delà de la juridiction nationale qui sont gérés par la communauté internationale.

Lire l'article complet sur ULaval nouvelles
 

 

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Najat Bhiry reçoit le Prix d’excellence en enseignement, catégorie Encadrement aux cycles supérieurs

07 décembre 2022

Ce prix reconnait l’engagement et la qualité de la supervision d’une ou d’un membre du corps professoral dans le processus d’apprentissage et de recherche des étudiantes et des étudiants aux cycles supérieurs. Najat Bhiry est professeure titulaire à la Faculté de foresterie, de géographie et géomatique depuis 1998. Elle y a notamment assuré la direction des programmes gradués du Département de géographie de 2004 à 2010. Elle a aussi dirigé le Centre d'études nordiques de 2012 à 2018. Pour madame Bhiry, la formation en recherche se situe au cœur de sa fonction de professeure-chercheuse.

Au cours de sa carrière, Mme Bhiry a encadré avec brio un très grand nombre de personnes étudiantes aux cycles supérieurs en géosciences. Les commentaires recueillis témoignent d’un encadrement constant, personnalisé, à la fois rigoureux et bienveillant, et ce, dès l’amorce du projet de recherche jusqu’à l’insertion professionnelle. La qualité de l’encadrement offert par madame Bhiry se traduit par une retombée concrète remarquable: depuis 2008, aucune personne étudiante sous sa direction n’a abandonné ses études aux cycles supérieurs.

Madame Bhiry propose à ses étudiantes et étudiants un milieu d’apprentissage riche et favorable aux découvertes scientifiques. Elle les intègre aux différents programmes internationaux de recherche auxquels elle collabore activement. Par ailleurs, madame Bhiry insiste sur l’importance de l’interdisciplinarité pour enrichir la formation des personnes étudiantes. Cette approche génère, entre autres, des occasions d’apprentissage et de réseautage nombreuses et diversifiées, notamment avec des spécialistes de divers horizons, les communautés autochtones du Nord et les organismes partenaires (Administration régionale Kativik, Société Makvik, Institut culturel Avataq, ministère des Transports, etc.). À cet égard, le leadership de madame Bhiry dans le cadre de ses recherches interdisciplinaires en géoarchéologie est un exemple inspirant.

Madame Bhiry offre un encadrement stimulant où la collaboration est une priorité pour favoriser l'entraide et les échanges fructueux. L’une des stratégies pour soutenir l’engagement et la persévérance de ses étudiantes et étudiants est d’organiser des rencontres de groupe pour discuter de leurs recherches respectives. D’ailleurs, les principes d’équité, de diversité et d’inclusion sont des valeurs essentielles mises de l’avant par madame Bhiry parmi l’ensemble des activités d’encadrement et de collaboration.

En somme, l’encadrement exceptionnel offert par madame Bhiry à ses étudiantes et étudiants témoigne d’une professeure passionnée et dévouée, qui a à cœur d’offrir une formation à la recherche de grande qualité, un tremplin pour leur carrière.

Pour visionnez la vidéo et voir les détails

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Encore une belle édition du Sous-Boilympique avec 1766 heures d'activités physiques!

05 décembre 2022

Le Sous-Boilympique, édition automne 2022, organisé par l’Association des étudiantes et des étudiants en foresterie et environnement de l’Université Laval s’est déroulé du 13 au 25 novembre 2022. Le but de cette activité est de motiver les gens à bouger et d’encourager l’activité physique dans un contexte amical. Les membres de la communauté étudiante et le personnel de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique étaient invités à former des équipes, puis à pratiquer des activités sportives dont ils compilaient la durée grâce à un formulaire en ligne. Chaque période de 15 minutes équivalait à un point. Les trois équipes ayant accumulé le plus de points étaient déclarées gagnantes. D’autres activités comme des énigmes, un tournoi de volley-ball, un géocaching et une soirée de clôture complétaient cette compétition amicale appréciée de plusieurs!

Pour cette édition, 16 équipes ont été formées et chacune portaient un nom de plantes pour un total de 141 participantes et participants. En tout c’est près de 1766 heures d’activités physiques qui ont été réalisées. Les plus populaires ont été l’entraînement notamment en salle, la marche et la randonnée et les sports de ballon comme le volley-ball, basketball, soccer, etc. Le vélo était aussi assez populaire malgré la période plutôt froide. Plusieurs des membres de la Faculté utilisent d’ailleurs le vélo pour venir à l’Université Laval.

Bravo au comité organisateur notamment à Anne-Sophie Goyette, étudiante au baccalauréat intégré en environnements naturels et aménagés et son équipe pour le temps investi dans la réalisation de cette belle activité rassembleuse. La prochaine édition devrait avoir lieu à l’hiver 2023! C’est un rendez-vous! 

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Quel âge a cette église ?

05 décembre 2022

Datation de l'église de Notre-Dame-des-Anges à Québec.
Les recherches auxquelles ont participé deux experts de la dendrochronologie au Département de géographie, Martin Simard et Ann Delwaide, tendent à confirmer que des éléments de sa structure de bois datent de 1620, ce qui en ferait la plus vieille église du Canada.

Découvrez les résultats de leurs analyses dans le reportage «Quel âge a cette église ?» (18:27) diffusé le 20 novembre 2022 à l'émission Découvertes sur Ici Radio-Canada.

PHOTO Gilbert Bochenek

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Parcs, réserves, géoparcs, etc. : la labellisation, qu’est-ce que ça change?

01 décembre 2022

Comme plusieurs lieux du Québec, la municipalité d’Anticosti tente d’obtenir le label « patrimoine mondial de l’UNESCO ». Beaucoup d’efforts sont consentis dans ces projets, mais quels sont vraiment les impacts de telles labellisations sur ces territoires? 

Pascale Marcotte, professeure titulaire et directrice du certificat en tourisme durable au département de géographie à l’Université Laval, est une spécialiste de la question. Elle était d’ailleurs l’une des intervenantes du séminaire Désignations de territoire de l’UNESCO qui se déroulait, le 24 novembre dernier, au Fairmont Le Manoir Richelieu, à La Malbaie. Elle a répondu aux questions de la journaliste Émélie Bernier..

Pour en savoir plus sur la labellisation, ses exigences et ses conséquences, consultez l'article complet du journal Le Charlevoisien.

PHOTO Dominique Blanc-Tardif (CC BY-NC-ND 2.0)

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Retour sur la Journée SIG Université Laval: des honneurs à tous les niveaux!

30 novembre 2022

Le vendredi 25 novembre dernier se tenait la 10e édition de la Journée SIG Université Laval dans le cadre de laquelle deux concours étaient organisés.

Concours cartographique La preuve par la carte!

Pour cette édition, le concours cartographique s’est adressé aux étudiantes et étudiants de l’Université Laval (aux trois cycles) et du Cégep Limoilou.

Les cartes reçues sont affichées sur le site Web de la journée SIG Université Laval.

Le comité d’évaluation a décerné le premier prix à Céline Pierre, étudiante au DEC en géomatique, spécialisation Information géospatiale et cartographie, pour son projet Classification écologique du Québec. Le projet présente 5 des 11 niveaux de cette classification, chacun expliqué et représenté par une carte.

Sarah Gauthier, étudiante au Doctorat en sciences géographiques, a obtenu le deuxième prix pour sa Carte des dépôts de surface et profils stratigraphiques du dépôt argileux riche en glace sensible aux glissements de terrain dans le village nordique de Salluit, Nunavik.

Un troisième prix a été décerné à Émile Bergeron, étudiant au Baccalauréat en aménagement et environnement forestiers pour sa Carte des lits d'écoulements potentiels et des bassin versants avec brûlage des ponceaux sur fond d'indice d'humidité topographique.

Finalement, le prix Coup de cœur du public va à Raphaël Pouliot, étudiant à la Maîtrise en sciences forestières avec mémoire. Son projet s’intitule Portrait de l’intensité d’aménagement forestier réalisé dans les 10 dernières années dans le sud du Québec à l’aide du LiDAR aéroporté (30 m x 30 m).

Concours Mon projet en 360 degrés!

Inspiré des concours « Ma thèse en 180 secondes », cette activité permet à chaque participante et participant de présenter son projet de maîtrise ou de doctorat en 3 minutes.

Le premier prix est allé à Olivier Stocker, étudiant au Doctorat en sciences géomatiques, qui a présenté son projet Détection d’espèces d’arbres dans les forêts québécoises.

Le comité d’évaluation a remis le deuxième prix à Zahra Pashaei, étudiante à la Maîtrise avec mémoire en sciences géomatiques pour son projet sur la Gestion des risques d’inondations.

Le troisième prix a été remis à Juzer Noman, étudiant à la Maîtrise avec mémoire en sciences géomatiques pour son projet Risques d’inondation! Par où commencer?.

Félicitations aux récipiendaires!

Enregistrement vidéo des conférences

Pour celles et ceux qui n’auraient pas pu assister aux conférences présentées lors de cette journée, elles sont maintenant disponibles sur la chaîne Youtube de l’événement :

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Qu'est-ce qui provoque la détérioration des rives?

28 novembre 2022

L’érosion des berges le long de la voie maritime du fleuve Saint-Laurent est multifactorielle et ne date pas d’hier. Le déboisement des rives, d’autres interventions humaines, les effets gel-dégel ou encore les puissantes vagues provoquées par les gros navires (surtout à Saint-François) peuvent aussi avoir un impact non négligeable. Ce n’est pas pour rien que des centaines de kilomètres de berges ont été bétonnées ou enrochées au milieu du siècle dernier. Ces aménagements vieillissants et les rives naturelles existantes risquent cependant d’être encore plus vulnérables dans le futur en raison des changements climatiques, à l’île d’Orléans comme ailleurs dans le tronçon fluvial, estiment plusieurs scientifiques. Voici pourquoi.

La tempête et les marées

« Les marées, surtout dans la région de Québec et dans l’estuaire, peuvent accentuer les phénomènes d’érosion là où il existe des barrières humaines ou naturelles empêchant une recharge des sédiments. Toutefois, l’érosion est principalement causée par les ondes de tempêtes. Sur le tronçon fluvial, les ondes de tempêtes sont principalement ressenties près de l’île d’Orléans », peut-on lire dans une étude produite par Ouranos en 2020. Rappelons qu’une pointe de vent de 126 km/h avait été enregistrée à Saint-François en 2017. Il est difficile, par contre, d’établir un lien direct avec les changements climatiques puisque les modèles globaux sont peu adaptés au niveau local, nuance Jean-François Bernier, chercheur au Département de géographie de l’Université Laval. « Des tempêtes, il faut faire attention, on n’en a pas tant que ça à Québec non plus et il faut que ça soit une tempête parfaite avec un haut niveau d’eau. Lorsque la marée est basse, il n’y a pas tant de conséquences. » En revanche, les changements climatiques ajoutent une grande part d’incertitude et sont perçus comme un facteur aggravant. « Il peut y avoir plus d’événements extrêmes que dans le passé. C’est ça le problème. On a besoin de mieux aménager notre territoire en fonction de cette incertitude », ajoute son collègue Patrick Lajeunesse.  

Le couvert de glaces diminue

Depuis 1998, l’étendue de glace de berge sur la côte est canadienne (provinces maritimes et golfe du Saint-Laurent à partir de Québec) a décru de 1,53 % par année. À l’île d’Orléans, ils sont nombreux à avoir observé une réduction du couvert de glaces dans les dernières décennies. Or, ces glaces sont généralement reconnues pour leur « rôle protecteur » des berges à l’hiver et au printemps puisqu’elles atténuent l’onde de marée et les vagues. Si le couvert de glaces n’est pas suffisamment épais, l’érosion s’accentue. « La glace va disparaître d’ici la fin du siècle, c’est à peu près certain. On parle d’une réduction de 95 % par rapport à aujourd’hui. C’est un bouleversement assez important. C’est assez lointain, mais c’est quelque chose qui a déjà commencé », avance Gabriel Rondeau-Genesse du consortium Ouranos. Le rôle protecteur des glaces fait toutefois débat dans la communauté scientifique et leur « rôle érosif » est sous-étudié dans le tronçon fluvial, selon Jean-François Bernier, du Département de géographie de l’Université Laval. Si les glaces devaient complètement disparaître d’ici l’an 2100, ce serait « quasiment une source d’érosion de moins, opine-t-il. Il faut prendre ça en compte également. » 

Hausse du niveau de la mer

Le changement n’est peut-être pas encore perceptible à l’œil nu, dans le fleuve Saint-Laurent, mais le niveau de l’eau est bel et bien en hausse. Depuis 1993, selon des outils fiables de mesure de Pêches et Océans Canada, le niveau a augmenté de près de 2 mm/an dans le secteur de l’île d’Orléans, soit environ 5 centimètres durant cette période. « Le rehaussement marin est indéniable », observe Gabriel Rondeau-Genesse, chercheur pour Ouranos, un consortium sur la climatologie régionale et l’adaptation aux changements climatiques. « On ne connaît pas exactement la valeur finale, mais en fin de siècle, ça pourrait atteindre 50 à 60 cm, avec des [scénarios] plus catastrophes de 1 mètre et plus selon l’évolution de l’Antarctique. C’est clair que ça va avoir un impact sur l’érosion des berges et la submersion. » Certaines régions du Québec, dont la région de Québec, sont toutefois encore en train de se soulever dû à la dernière glaciation – ce qu’on appelle l’ajustement isostatique –, ce qui vient contrebalancer en partie l’impact du rehaussement marin.

Source: Journal de Québec, Jean-Luc Lavallée

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Canada : pourquoi Ottawa veut accueillir 500 000 immigrants par an

09 novembre 2022

Le ministre de l'Immigration canadien Sean Fraser a annoncé vouloir rehausser les seuils d'immigration avec comme objectif d'accueillir 500 000 nouveaux arrivants par an d'ici 2025. En quoi l'immigration est-elle la solution ? Entretien avec Adèle Garnier, spécialiste des enjeux migratoires et professeure à l’Université Laval à Québec.

Entretien pour TV5 Monde: 04 novembre 2022

Intervention avec Gerard Fillion dans l'émission Zone Économie:
1 novembre 2022

 

Photo : The voice of Canadian immigration

 

               

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Félicitations à Alexis Achim, nommé ingénieur forestier de l’année 2022

04 novembre 2022

La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique tient à souligner la nomination d’Alexis Achim, professeur titulaire et vice-doyen à la recherche, à titre ingénieur forestier de l’année 2022 par l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec (OIFQ). L’OIFQ décerne annuellement cette distinction à l’un de ses membres pour souligner sa contribution exceptionnelle au développement et à la promotion de la profession d’ingénieur forestier. 

M. Alexis Achim est ingénieur forestier et professeur titulaire à l’Université Laval. Il est titulaire d'un baccalauréat en gestion forestière et fibre environnementale et d'un doctorat en sylviculture de l'Université Laval. Au cours des 24 derniers mois, M. Achim a su se démarquer de nombreuses façons dans le milieu de la recherche ici et ailleurs dans le monde.

Il dirige présentement une initiative de recherche canadienne, Silva21 Advancing silviculture in Canadian Forests, qui regroupe plus de cinquante personnes travaillant au sein de diverses organisations : le gouvernement fédéral, les gouvernements provinciaux du Québec, de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse, de Terre-Neuve-et-Labrador et de la Colombie-Britannique, de l’industrie forestière, d’une communauté autochtone et du milieu universitaire afin de travailler en collaboration à élaborer de nouvelles pratiques forestières pour faire face aux changements climatiques. Sa capacité à rassembler une multitude d’acteurs aux horizons multiples en fait un leader et un mentor de premier ordre pour plusieurs chercheuses et chercheurs en début de carrière. Il dirige et inspire présentement 15 étudiantes et étudiants à la maîtrise, au doctorat et au postdoctorat.

Poursuivre la lecture de l’article de l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec

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De nouveaux arbres sur le campus au service de l’enseignement et de la recherche

04 novembre 2022

La Ville de Québec et l'Université Laval ont présenté le mercredi 2 novembre les fruits de la première phase de plantation de près de 400 arbres effectuée en amont de l'insertion du tramway sur le campus. Une amorce concluante qui jette les bases des efforts de verdissement de la cité universitaire et du quartier. 

« Il s’agit d’une première étape dans les objectifs de verdissement que la ville s’est fixée. C’est près de 400 arbres qui viendront enrichir la diversité forestière du campus et qui permettront à l’ensemble des citoyennes et des citoyens de profiter d’une meilleure qualité de vie, indique Mme Maude Mercier Larouche, membre du comité exécutif et élue responsable des relations avec les citoyens dans le dossier du tramway. Plus d’arbres sur le campus, c’est aussi plus d’arbres en ville. Nous pouvons être fiers de ces premiers résultats et de pouvoir compter sur l’expertise de l’Université Laval! »

[…]

Une place importante pour la recherche et l'enseignement 

Depuis le début du projet d'implantation du tramway, l'Université s'est engagée à commencer la plantation avant même le début des travaux sur le campus. Cet engagement se concrétise dès cet automne sur le campus. « Nous sommes fiers de déployer notre plan de reboisement en collaboration avec la Ville de Québec. Ensemble, nous avons minutieusement planifié toutes les étapes afin d'offrir à notre communauté un environnement entouré d'arbres et de verdure », souligne le vice-recteur aux infrastructures et à la transformation, René Lacroix. 

Au-delà des travaux de plantation, l'Université accorde une grande importance à l'impact de la recherche et de l'enseignement dans la société. « C'est pourquoi, dans le cadre du plan de reboisement, l'expertise de la Chaire de recherche sur l'arbre urbain et son milieu a été déterminante dans le choix des emplacements des arbres et des essences, souligne la vice-rectrice à la recherche, à la création et à l'innovation, Eugénie Brouillet. Pour nous, chaque projet de société est une occasion de pousser la recherche plus loin et d'innover ». 

Lancée en 2020 grâce à la collaboration de la Ville de Québec, cette chaire a notamment pour objectif d'évaluer les effets de différentes approches de protection des arbres matures lors de l'implantation d'infrastructures majeures. Elle cherche aussi à identifier les facteurs qui influencent la survie des nouvelles plantations en milieu urbain. 

Les professeures au Département des sciences du bois et de la forêt à l'Université Laval et cotitulaires de la Chaire, Alison Munson et Janani Sivarajah, profitent déjà de ces plantations pour y effectuer des activités d'enseignement et y élaborer des protocoles de recherche. 

Des sites de plantation seront réservés à la Chaire à partir de 2023 afin d'effectuer des recherches sur les arbres qui seront plantés et de suivre leur évolution en considérant les différents milieux urbains présents sur le campus (près de l'autoroute, des stationnements, des pistes cyclables, etc.). 

« L'objectif de nos travaux de recherche est de profiter de la plantation de nouveaux arbres pour créer un laboratoire vivant et de contribuer à l'avancement et la transmission des connaissances sur les arbres en milieu urbain, soulignent les professeures Munson et Sivarajah. Nous sommes impatientes de travailler avec les étudiantes et les étudiants sur le terrain. Il n'y a pas de meilleur environnement pour apprendre et découvrir ». 

Photo : Janani Sivarajah, professeure au Département des sciences du bois et de la forêt et cotitulaire de la Chaire de recherche sur l’arbre urbain et son milieu. Crédit : ULaval nouvelles

Lire l’article complet sur ULaval nouvelles
Écouter la conférence de presse sur YouTube

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Changements climatiques : le passé de la baie de Baffin pourrait prédire le sort de l’Antarctique

27 octobre 2022

Si le passé est garant de l’avenir, la disparition des barrières de glace qui bordent actuellement l’ouest de l’Antarctique pourrait mener à une hausse marquée du niveau de la mer. Une équipe internationale vient en effet de découvrir qu’un événement similaire survenu il y a 14 500 ans dans la baie de Baffin, dans l’Arctique, avait contribué à l’augmentation de plusieurs mètres du niveau marin enregistrée au cours des siècles subséquents.

Les détails de cette découverte, à laquelle ont contribué le postdoctorant Pierre-Olivier Couette et le professeur Patrick Lajeunesse, du Département de géographie de l’Université Laval, viennent d’être publiés dans la revue Communications Earth & Environment.

« L’Antarctique est recouvert d’un glacier qui repose sur un substrat rocheux, rappelle le professeur Lajeunesse. Du côté ouest du continent, la base du glacier se situe sous le niveau de la mer, mais le glacier est protégé de l’eau salée par des barrières de glace flottante qui agissent comme remparts. Certaines de ces barrières se sont fragmentées au cours des dernières années et leur disparition pourrait accélérer l'écoulement du glacier vers la mer, ce qui pourrait entraîner une hausse du niveau marin et, conséquemment, une accentuation de l’écoulement du glacier. »

Afin de mieux comprendre la dynamique entre la fonte des barrières de glace et l’écoulement des glaciers, Pierre-Olivier Couette, Patrick Lajeunesse et leurs collaborateurs se sont tournés vers l’Arctique. « Des travaux que nous avions effectués dans la baie de Baffin avaient révélé la présence d’indices suggérant qu’une barrière de glace aurait pu s’y trouver lors de la dernière glaciation », explique Pierre-Olivier Couette.

Des données récoltées à l’aide d’appareils installés à bord d’un navire de recherche ont permis aux chercheurs de découvrir la présence d’une crête de sédiments rocheux d’une dizaine de mètres de haut par quelques centaines de mètres de large, s’étendant sur plusieurs dizaines de kilomètres. « Nous croyons que ce matériel provient du glacier et qu’il se serait accumulé à cet endroit en raison de la présence d’une barrière de glace qui est demeurée stable pendant la période allant de 25 000 ans à 16 500 ans avant aujourd’hui. La crête correspond au point de contact entre la marge de la barrière de glace et le fond marin », résume le postdoctorant.

Selon les calculs des chercheurs, cette barrière aurait atteint, à son apogée, une superficie de 150 000 km2 et une épaisseur de 500 mètres. Le réchauffement du climat, qui s’est amorcé il y a 16 500 ans, aurait conduit à sa disparition deux millénaires plus tard, perturbant les trois grandes calottes de glace qui bordaient la baie de Baffin. « C’est l’un des éléments qui aurait contribué à la hausse de 20 mètres en 500 ans du niveau marin enregistrée à cette époque », souligne Pierre-Olivier Couette.

La disparition des barrières de glace de l’Antarctique pourrait-elle avoir un effet comparable? « Il y a moins de glaciers aujourd’hui qu’il y en avait il y a 15 000 ans, de sorte que la hausse du niveau de la mer pourrait être moindre, répond le chercheur. Par contre, à l’époque, l’occupation humaine des côtes n’avait rien de comparable avec ce qu’elle est aujourd’hui. Si le niveau actuel de la mer augmentait de quelques mètres, les répercussions sur nos sociétés seraient énormes. »

L’étude publiée dans Communications Earth & Environment est signée par Pierre-Olivier Couette et Patrick Lajeunesse, (Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval); Jean-François Ghienne (Université de Strasbourg); Boris Dorschel et Catalina Gebhardt (Institut Alfred-Wegener); Dierk Hebbeln (Université de Brême); Étienne Brouard (Commission géologique du Canada).

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Source :
Équipe des affaires publiques
Université Laval
418 656-3355
medias@ulaval.ca

 

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Des fouilles archéologiques au sud de Terre-Neuve

26 octobre 2022

Deux professeurs et quatre étudiants de l’Université Laval ont travaillé cet été sur le chantier franco-québécois de l’anse à Henry, à Saint-Pierre-et-Miquelon.
Les quatre étudiants faisaient partie d’une équipe internationale composée de six Québécois et de trois Français. La codirection québécoise était assurée par le professeur émérite d’archéologie à l’Université Laval, Réginald Auger. Pour sa part, Najat Bhiry, géomorphologue et professeure au Département de géographie de l’Université Laval, a passé 10 jours en septembre à l’anse à Henry.

Ce chantier archéologique franco-québécois a été couvert par plusieurs médias dont Ulaval nouvelles et Le journal de Québec.

PHOTO : L'aire de fouilles des archéologues à l’anse à Henry, avec l'île du Grand Colombier au loin. 
On aperçoit une tente blanche à proximité qui servait d'abri et où était entreposé l'équipement

 

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Appel de candidatures - Projets de maîtrise sur le Vietnam

25 octobre 2022

Deux candidates ou candidats recherchés pour un projet de maîtrise (des candidatures pour un doctorat pourraient éventuellement être considérées) - Janvier 2023

Titre du projet : « Réduction des inégalités au Vietnam : vulnérabilités et adaptations chez les petits paysans et pêcheurs au Vietnam » (RIV)

Domaine et mots-clés : géographie humaine rurale, Vietnam, inégalités socioéconomiques, montagnes, zones côtières, agriculture, pêches

Objectif général : contribuer à réduire les inégalités socioéconomiques par une meilleure compréhension multiscalaire des vulnérabilités chez les petits paysans et pêcheurs vietnamiens, de leurs transformations et adaptations, à la fois par et pour eux.

Lieu : deux provinces du Vietnam servent d’études des cas : Lâm Đồng, sur les Plateaux centraux, où se trouve la ville de Đà Lạt; et Phu Yên, province côtière dont la capitale est Tuy Hoa. Les étudiantes ou étudiants à la maîtrise se partageront le travail à raison d'un par province.

Contribution des étudiants : en préparant leurs mémoires de maîtrise respectifs, les étudiantes ou étudiants réaliseront des bilans documentaires, des analyses (statistiques, cartographiques, littérature), et des travaux d’enquêtes de terrain, avec conseillers-interprètes, dans l’une ou l’autre des provinces. Ils participeront aussi aux ateliers qui se tiendront au Vietnam au printemps 2023. En fonction de la qualité du travail, ces derniers seront invités à participer aux efforts de diffusion des résultats de la recherche (communications, publications).

Échéancier probable :

  • novembre – décembre 2022 : admission et inscription (hiver 2023)
  • janvier-avril 2023 : séminaires et rédaction d’un premier jet du projet de maîtrise
  • printemps-été 2023 : finalisation du projet; séjour de terrain au Vietnam (2 à 3 mois)
  • automne 2023 : séminaires; analyse des données du terrain et début de rédaction
  • 2024 : fin des analyses et de la rédaction; dépôt initial et dépôt final; diplomation

Financement :

  • jusqu’à 7500$ par année (deux ans) par personne, sous forme de contrat ou de bourse pendant l’année scolaire
  • terrain : jusqu’à 5000$ sont disponibles par personne pour aider à réaliser les travaux de terrain en collaboration avec l’équipe du projet
  • des bourses au mérite sont disponibles en supplément à la Faculté

Équipe du projet : dirigée par le professeur Steve Déry, professeur titulaire au département de géographie de l’Université Laval, l’équipe comprends aussi les professeurs Lisa Hiwasaki (University of Rhode Island) et Nguyen Ngoc Thuy (Nong Lam University) qui contribuent à la direction scientifique du projet.

Exigences :

  • baccalauréat en géographie ou dans une discipline connexe
  • connaissance de l’anglais, esprit d’analyse et de synthèse
  • intérêt pour la recherche, autonomie et sens de l’organisation

Atouts : expériences de voyage en Asie, SIG, méthodes qualitatives, autres langues.

Envoyez vos candidatures à Steve.Dery@ggr.ulaval.ca.
Les candidatures seront évaluées à partir du 15 novembre 2022.

Votre dossier doit inclure :
1) une lettre de motivation (intérêts, compétences, formations pertinentes)
2) un CV complet
3) vos relevés de notes universitaires les plus à jour

Programme : Maîtrise en sciences géographiques; diplôme : M.Sc.

Fichier PDF de l'appel à candidatures

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Suspension des activités récréatives à la Forêt Montmorency cet hiver

19 octobre 2022

La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique tient à informer sa communauté de la suspension des services et activités récréotouristiques à l’automne 2022 et l’hiver 2023 sur une partie du territoire dont les activités récréatives sont encadrées par l’Université Laval. Cette partie représente 66 km2 sur une superficie totale de 412 km2.  

Une forêt d’enseignement et de recherche

La Forêt Montmorency de l’Université Laval est la plus grande forêt d’enseignement et de recherche universitaire au monde. Sa mission première étant l’enseignement et la recherche, celle-ci est un laboratoire unique dans le biome boréal, accessible à la communauté étudiante et professorale et aux équipes de recherche de l’Université Laval, de même qu’à toutes les autres institutions d’enseignement et de recherche du monde entier. 

Les opérations et activités forestières prévues sont en lien avec notre mandat d’aménagement du territoire, conféré par les instances gouvernementales ainsi que la programmation de recherche. Elles portent notamment sur le rôle de l’aménagement forestier comme outil de lutte et d’adaptation aux changements climatiques, un enjeu au cœur des valeurs de l’Université Laval.

La décision de ne pas permettre la tenue des activités de ski de fond est basée sur plusieurs éléments, dont une équipe actuellement réduite, des activités de recherche et d’enseignement, ainsi qu’un processus d’évaluation des infrastructures en cours par le service des immeubles de l’Université Laval. La mise en place de tous ces éléments requiert des interventions majeures sous diverses formes, dont l’aménagement des peuplements forestiers dans les environnements immédiats des sentiers antérieurement utilisés dans le cadre d’activités récréatives. À cet effet, de la machinerie lourde devra utiliser les sentiers pour leurs déplacements et le transport de bois.  

En tant qu’établissement responsable, la priorité pour l’Université Laval est d’assurer la sécurité des utilisateurs de cette forêt. Il est donc important de ne pas s’aventurer dans ce secteur cet hiver. Nous sommes bien conscients que cette décision attriste de nombreuses skieuses et de nombreux skieurs. Nous en sommes désolés. 

L’avenir des activités récréotouristiques à la Forêt Montmorency

La suspension des activités de récréotourisme n’est pas permanente et une réévaluation de la situation sera effectuée pour la saison 2023-2024. La Forêt Montmorency a longtemps été en mesure d’offrir la tenue d’activités récréatives sur une partie de son territoire et espère pouvoir trouver une formule pour en offrir certaines à nouveau dans l’avenir. Le tout doit être aligné sur des objectifs de recherche, de formation et d’éducation du grand public, tout en respectant des critères de rentabilité et d’autofinancement de ces activités.

C'est dans cette vision de cohabitation et d'accessibilité au public que s’insère le projet d’aménagement de la tourbière Joncas. Celui-ci a pour but de mettre sur pied des projets d’infrastructures écologiques qui protègent la nature, tout en partageant ses richesses avec le grand public.

Lors des deux derniers hivers, des projets pilotes pour la gestion du volet récréatif de la Forêt Montmorency par un promoteur externe ont été effectués. Après analyses, c’est à la lumière de ces projets pilotes que nous envisagerons la suite.

Nous sommes bien conscients que cette décision peut avoir un impact sur la saison de ski de fond des amoureuses et amoureux de ce sport d’hiver. Nous espérons que les skieuses et les skieurs bénéficieront des autres installations récréotouristiques, notamment celle située au Camp Mercier, un centre de ski de très haute renommée à proximité, qui se trouve sur le territoire d’agrandissement (412 km2) de la Forêt Montmorency depuis 2015.

Des communications seront émises au cours de l’année 2023 en lien avec les décisions qui seront prises par les autorités de l’Université Laval.

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La migration des arbres en réponse aux changements climatiques. Oui, mais à quelle vitesse ?

17 octobre 2022

Les arbres de la forêt boréale sont sensibles aux changements climatiques, mais leur migration en réponse aux fluctuations de température ne se fait pas au galop. C’est ce que démontre une étude publiée aujourd’hui par la revue PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States). L’équipe dirigée par le professeur Serge Payette, composée de Martin Lavoie, du Département de géographie et du Centre d’études nordiques, et Pierre-Luc Couillard, Mathieu Frégeau et Jason Laflamme, du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs du Québec, a calculé la vitesse à laquelle le pin gris et l’épinette noire ont progressé vers le nord après la dernière glaciation.
Lire la suite de l'article sur ULaval nouvelles.

Lire l'article de la revue PNAS

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Poste de professeur ou professeure en géographie de l’Afrique

13 octobre 2022

Le Département de géographie de l’Université Laval désire combler un poste de professeur régulier au rang d’adjoint dans le domaine de la géographie de l’Afrique, avec expertise sur les liens géopolitiques et géoéconomiques de l’Afrique avec l’Asie.

Période d’affichage : du 15 octobre au 2 décembre 2022

Description du poste

  • Enseigner à tous les cycles en géographie;
  • Développer un programme de recherche original et porteur;
  • Encadrer des étudiantes et des étudiants à tous les cycles en géographie ;
  • Être actif dans les réseaux de recherche en géographie et être en mesure de collaborer avec des équipes multidisciplinaires.

Critères de sélection

  • Détenir un Ph. D. en géographie ou dans une discipline pertinente;
  • Être capable d’enseigner en français;
  • Avoir publié plusieurs articles scientifiques dans des revues arbitrées et reconnues;
  • Avoir une expertise sur les liens géopolitiques et géoéconomiques de l’Afrique avec l’Asie;
  • Seront considérés comme un atout:
    • Travailler avec une approche méthodologique tournée vers l’analyse géospatiale (SIG, cartographie, analyse spatiale et statistique);
    • Avoir une expérience en enseignement universitaire et d’excellentes aptitudes à la communication.

Conditions d’engagement et de traitement

Salaire selon la convention collective en vigueur.

Date limite de dépôt des candidatures

Vendredi 2 décembre 2022 17h00

Date d’entrée en fonction

Entre le 1er mai 2023 et le 1er juillet 2023

Les dossiers de candidature doivent comprendre une lettre de motivation présentant le programme de recherche de la candidate ou du candidat (max. 5 pages), une description de sa philosophie d’enseignement et d’encadrement incluant les critères d’équité, de diversité et d’inclusion (max 1 page), un CV complet et un exemplaire des trois publications les plus pertinentes en lien avec ce poste. Le cas échéant, un exemplaire de plan de cours et les évaluations de l’enseignement pourront faire partie du dossier. Les candidates ou candidats doivent également demander à trois personnes de faire parvenir une lettre de recommandation confidentielle directement à l’adresse courriel suivante : direction-geographie@ggr.ulaval.ca

ou encore à l’adresse postale ci-dessous.

Marie-Hélène Vandersmissen, directrice
Département de géographie, Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique Pavillon Abitibi-Price, local 3137
Université Laval
Québec (Québec) CANADA G1V 0A6

Les dossiers de candidature devront également être transmis à l’une ou l’autre de ces adresses.


Valorisant l’équité, la diversité et l’excellence, l’Université Laval s’engage fermement à offrir à l’ensemble de son personnel un milieu de travail et de vie empreint d’une culture inclusive. Pour l’Université Laval, la diversité est source de richesse et nous encourageons les personnes qualifiées de toute origine, tout sexe, orientation sexuelle, identité ou expression de genre ainsi que les personnes handicapées à présenter leur candidature.

L’Université Laval souscrit également à un programme d’accès à l’égalité en emploi pour les femmes, les membres d’une minorité visible ou ethnique, les autochtones et les personnes handicapées. Veuillez noter que des mesures d’adaptation des outils de sélection peuvent être offertes aux personnes handicapées en fonction de leurs besoins, et ce, en toute confidentialité. Conformément aux exigences de l’immigration canadienne, la priorité sera accordée aux personnes qualifiées ayant le statut de citoyen canadien ou de résident permanent.

Pour mieux connaître le département de géographie, les candidates et candidats sont invités à consulter son site internet.

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Lancement des activités de la campagne Centraide à la FFGG

13 octobre 2022

L'Université Laval effectue à chaque année une Campagne institutionnelle de levée de fonds pour CENTRAIDE. Les montants recueillis contribuent à la campagne de financement de Centraide Québec et Chaudière-Appalaches. Cette opération permet d'amasser les fonds nécessaires aux investissements massifs et stratégiques que Centraide fera au sein de la collectivité pour, toujours plus efficacement, agir sur la pauvreté qui touche les gens d'ici. La campagne de financement de Centraide mobilise un vaste réseau de personnes bénévoles, dévouées, provenant de secteurs d'activité diversifiés, sans l'aide desquelles rien ne serait autant possible. La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique y contribue également à chaque année avec plusieurs membres du personnel qui organisent diverses activités pour amasser de l'argent pour cette bonne cause

Activités Centraide de la FFGG

Vente de pâtisseries

Pavillon Abitibi-Price
Le mardi 18 octobre, de 10 h à 10 h 30
Cafétéria du pav. Abitibi-Price

Pavillon Louis-Jacques-Casault
Le mardi 8 novembre, de 10 h à 10 h 30 – local 2306

La roue de l’infortune

Pavillon Abitibi-Price
Le mercredi 19 octobre, de 12 h à 13 h
Cafétéria du pav. Abitibi-Price

Vente de livres

Pavillon Abitibi-Price
Le mercredi 26 octobre, de 10 h à 13 h
Cafétéria du pav. Abitibi-Price

Pavillon Louis-Jacques-Casault
Le jeudi 27 octobre, de 10 h à 13 h – entrée de la cafétéria du pav. Louis-Jacques-Casault

**soyez prévoyant - en argent comptant seulement**

Activité Centraide Université Laval

Sensibilisation Centraide et témoignage

Dans le cadre de la Campagne Centraide de l’Université Laval 2022 et de la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté, nous avons le plaisir de vous inviter à une activité spéciale qui se tiendra en visioconférence et en présentiel, pour ceux et celles qui désirent être sur place.  

Lors de cet événement, qui aura lieu le lundi 17 octobre de 11 h à 12 h à l’Amphithéâtre Hydro-Québec du pavillon Alphonse-Desjardins, nous serons invités de manière interactive à nous questionner sur les différents postes budgétaires d’un ménage. Cette activité nous permettra de constater le combat quotidien que vivent les personnes à faible revenu pour combler leurs besoins de base. Nous aurons également la chance d’entendre le témoignage d’une ancienne utilisatrice de l’un des 215 organismes associés à Centraide. 

Cet événement ne vous laissera pas indifférent et nous permettra, à toutes et à tous, de mieux comprendre la réalité quotidienne qui est vécue par des dizaines de milliers de personnes de notre communauté. 

Merci de vous inscrire à l’activité en suivant l’un des liens suivants: Participez à l’activité en ligne  - Participez à l’activité en présentiel, à l’Amphithéâtre Hydro-Québec 

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Lancement de la campagne de la tourbière Joncas

06 octobre 2022

Nichée au cœur de la Forêt Montmorency, la tourbière Joncas est un milieu humide fragile qui retrace, grâce aux fossiles qu’elle renferme dans sa tourbe, l’évolution de la végétation et du climat depuis la déglaciation jusqu’à nos jours.

Constituant l’un de nos rares sites de formation en territoire humide, cette tourbière est néanmoins difficile d’accès. C’est pourquoi la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique lance la campagne spéciale de la tourbière Joncas, destinée à soutenir l’aménagement de sentiers d’interprétation aux abords de la tourbière.

Réalisé dans le plus grand respect du territoire, le projet d’aménagement prévoit l’implantation de trois éléments physiques distincts : un sentier balisé, des points d’observation ainsi que des panneaux d’interprétation.

En contribuant à la campagne, vous nous aidez à valoriser ce trésor caché de la Forêt Montmorency et rendez ainsi accessible l’écosystème révélateur de la tourbière Joncas.

SOUTENEZ LA CAMPAGNE

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À découvrir : le premier épisode d'Un objet, deux regards : le site Cartier-Roberval et ses collections

05 octobre 2022

C’est avec plaisir que l’Unité mixte de recherche Capitales et patrimoines (UMRcp) invite la communauté ULaval à découvrir le premier épisode de la série Un objet, deux regards : le site Cartier-Roberval et ses collections : « Le sol comme archive naturelle et culturelle ».

Cet entretien voit Najat Bhiry, professeure titulaire au Département de géographie, et Évelyne Thiffault, professeure agrégée au Département des sciences du bois et de la forêt de l’Université Laval, échanger à propos du sol du site Cartier-Roberval. La discussion, qui suit l’évolution des sols depuis leur formation jusqu’à aujourd’hui, est animée par Françoise Guénette, journaliste.

Pour écouter une capsule qui donne un aperçu de l’entretien et l’épisode en entier, rendez-vous sur le site Web de l’UMRcp.

Un objet, deux regards : le site Cartier-Roberval et ses collections est une série d’entretiens où des spécialistes d’horizons divers sont invités à partager leur savoir et à croiser leurs regards en prenant appui sur un ou des objet(s) de la collection du site Cartier-Roberval pour explorer des thématiques plus larges auxquelles on peut le ou les associer.

La série est conçue et scénarisée par Habib Saidi, directeur de l’Unité mixte de recherche Capitales et patrimoines (UMRcp) et professeur titulaire au Département des sciences historiques de l’Université Laval. 

Lancée officiellement le 7 juillet 2020, l’Unité mixte de recherche Capitales et patrimoines (www.umr-cp.ulaval.ca) résulte d’une collaboration stratégique entre la Commission de la capitale nationale du Québec (CCNQ) et l’Université Laval. La mission de l’UMRcp consiste à soutenir le développement de projets de recherche dans les champs du patrimoine et à assurer une formation de qualité en études patrimoniales. Concrètement, l’UMRcp vise à devenir un pôle d’expertise d’avant-garde à l’échelle mondiale dans l’étude et la mise en valeur du patrimoine de capitales, en partenariat avec la CCNQ.

L’Université Laval et la Commission de la capitale nationale du Québec sont les partenaires fondateurs de l’UMRcp.

Pour toutes questions, vous pouvez contacter l’équipe de direction de l’UMRcp au umrcp@hst.ulaval.ca

Photo: Commission de la capitale nationale du Québec (CCNQ)

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La Terre, cette tour de Babel toponymique

28 septembre 2022

Dans son récent ouvrage, Henri Dorion convie les lecteurs à découvrir l’originalité, la complexité et la beauté du monde par les noms de lieux. Qu’ont en commun le lac Aachikamakuskasich situé au nord du Québec, le village écossais de John O’Groats et la ville marocaine de Souk Elarbaa Du Gharb? Ces noms de lieux, plus exotiques les uns que les autres, se retrouvent tous dans le plus récent ouvrage d’Henri Dorion, professeur à la retraite du Département de géographie, ex-président de la Commission de toponymie du Québec et auteur à ce jour d’une quarantaine d’essais. Cet érudit, grand voyageur devant l’Éternel, est un spécialiste de la géographie politique, celle d’ici et celle de nombreux pays à travers le monde. Intitulé Ce que cache le nom des lieux et publié aux Éditions MultiMondes, ce livre de plus de 300 pages fourmille de noms de lieux – il en contient plus de deux mille! – couvrant les cinq continents.

Lire l'article complet de Yvon Larose sur ULaval nouvelles

 

Photo : En plus des 300 pages, Henri Dorion aborde plus de 2000 toponymes d’ici et d’ailleurs. Pour lui, la Terre est un grand livre. Ses chapitres en sont les continents, ses paragraphes, les pays, ses phrases, les villes, ses mots, les rues.

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La privatisation de l'eau

27 septembre 2022

L'entrepreneur Olivier Primeau vient d'investir 3 millions dans l'entreprise Dominion Water Reserves qui possède 6 permis d'exploitation d'eau de source au Québec, ce qui représente 36% du volume d'eau qu'il est possible d'exploiter.

Pour en apprendre davantage sur la commercialisation de l'eau de source au Québec, Guillaume Dumas a discuté avec le professeur de géographie Frédéric Lasserre à l'émission «C'est encore mieux l'après-midi» le jeudi 22 septembre 2022.

Écoutez l'entrevue sur Radio-Canada Ohdio

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Étude sur l’impact du tourisme sur la consommation d’eau potable à Baie-Saint-Paul

23 septembre 2022

Rédigée par Steve Déry, professeur titulaire au département de géographie, et son équipe, cette étude porte sur le projet "Consommation de l’eau, développement gouvernance touristique et municipale dans une perspective de développement durable à Baie-Saint-Paul" qui visait à mieux comprendre l’articulation entre la fréquentation touristique à Baie-Saint-Paul et l’évolution de la consommation d’eau potable.

Résumé de l’étude

Depuis 2003, la Ville de Baie-Saint-Paul s’est dotée d’un plan directeur de l’eau avec pour objectif la réduction de la consommation moyenne d’eau. L’enjeu est que Baie-Saint-Paul est une ville touristique et l’achalandage estival peut rajouter facilement plus de 50% à la population normale de la Ville.

Avant la pandémie, depuis environ 2014, la fréquentation touristique internationale au Québec et au Canada, comme dans Charlevoix, était en hausse. Selon les résultats, la consommation d’eau potable dans le réseau d’aqueduc se situerait en moyenne à quelque 78 000 mètres cubes par mois, ce qui inclut un minimum de 30% d’occupation des unités d’hébergement, minimum sous lequel la fréquentation n’est jamais descendue pour aucun mois entre 2016 et 2018. En temps normaux, la part « estivale » (juin à octobre) du tourisme dans la consommation d’eau potable pourrait varier entre 28% et 34%, avec parfois des pointes à 37%.

S’agissant de la capacité du réseau, le réseau d’aqueduc de la Ville est très bien organisé malgré les modèles qui prévoient des changements au régime des pluies. Puits et réservoirs permettent de suffire à la demande actuelle du réseau sans aucun problème, y compris pendant les pics de consommation estivaux, et pourront aussi absorber des hausses de consommation raisonnables dans le futur.

Consulter l’étude complète

À propos de Steve Déry

Spécialiste de l’Asie du Sud-Est, en particulier du Vietnam et du Laos, Steve Déry s’intéresse aux milieux ruraux, aux minorités ethniques, à la marginalité, et aux relations de pouvoir. Il a écrit La colonisation agricole au Vietnam, paru aux PUQ (2004) et de nombreux articles scientifiques. Citoyen de Baie-Saint-Paul, il participe aussi activement au comité de l’Agenda 21 de la ville. Enfin, il est aussi artiste amateur; il a présenté en ligne pour plusieurs audiences au Québec et à l’échelle mondiale son album Changer de temps (2020), qui reprend les principaux thèmes de son travail d’enseignement et de recherche.

À propos des Cahiers de l’Institut

Les Cahiers de l’Institut permettent aux membres de l'Institut EDS de publier des articles ou des rapports de recherche interdisciplinaire, ainsi que des notes de synthèse résultant d’une démarche scientifique de mise à l’essai d’un outil ou d’une pratique. Le contenu vulgarisé permet de rejoindre, en plus des chercheurs, des décideurs et le grand public.  

Crédit photo : François Rivard

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Offre d’emploi d’agent ou agente de secrétariat

13 septembre 2022

Le Département des sciences du bois et de la forêt cherche la perle rare pour compléter son équipe! 
Date limite des candidatures : 27 septembre 2022.

Consultez l’affichage détaillé

La personne titulaire du poste d'agent ou agente de secrétariat aura notamment à :

  • Gérer l’accueil du département;
  • Soutenir le directeur du département dans ses responsabilités, anticiper et prévenir ses besoins, notamment : Gestion de son agenda et de sa boîte courriels, gestion de ses appels téléphoniques, gestion des divers échéanciers et procédures administratives, organisation des assemblées de l’unité de rattachement, etc.
  • Collaborer aux prévisions budgétaires du département, à la mise à jour des fichiers rattachés à ces prévisions, procède aux vérifications et aux conciliations requises et prépare des rapports synthèses;
  • Gérer les dossiers relatifs à l’enseignement du département;
  • Etc.

La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique a à cœur le bien-être et la reconnaissance professionnelle de tous les membres de son équipe. Que ce soit par l’organisation d’activités informelles ou par la mise en lumière de vos bons coups, le souci de vous offrir un milieu de vie et de travail stimulant est prioritaire.

Saviez-vous que l’Université Laval occupe le 18e rang des meilleurs employeurs, toutes industries confondues, à travers le pays, et le 1er rang dans la région de Québec, selon le classement de Forbes? Consultez l’article

Découvrez le Département des sciences du bois et de la forêt
Découvrez la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique

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Bienvenue à Zoé Bigras Généreux, intervenante de proximité de la FFGG

12 septembre 2022

Le Centre d’aide aux étudiants de l’Université Laval a mis en place des intervenantes et des intervenants de proximité au sein des facultés afin de rendre son expertise encore plus accessible à la communauté étudiante. La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique est heureuse de vous présenter Zoé Bigras Généreux, intervenante de proximité attitrée à notre Faculté.

Notre intervenante développe et met en place des programmes et des activités qui visent à favoriser le bien-être psychologique. Elle offre également à la communauté étudiante un service de soutien et d’écoute confidentiel, gratuit et ponctuel. Ses services, offerts en présentiel ou en virtuel, s’adressent aux étudiantes et étudiants vivant des difficultés de toutes sortes, qu’ils soient en pleine réussite scolaire ou en situation d’échec.

Parmi les motifs qui peuvent vous amener à solliciter l’aide de notre intervenante de proximité :

    • Stress ou anxiété
    • Isolement
    • Situation personnelle difficile (ex. : rupture amoureuse, conflit, deuil, habitudes de vie)
    • Difficultés reliées aux études (ex. : procrastination, motivation, anxiété de performance, échec, épuisement)
    • Difficultés financières
    • Difficultés d’adaptation

Pour la joindre ou prendre rendez-vous, veuillez communiquer avec elle par courriel à zoe.bigras.genereux@aide.ulaval.caIl est également possible de vous rendre à son bureau au 1127-A du pavillon Abitibi-Price, les mardis et jeudis, de 9h à 16h.

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Téléchargez l'application DéambUL pour découvrir le campus et pour vos déplacements!

31 août 2022

Envie de se promener sur le campus de l’Université Laval et y découvrir ce qu’il cache?  Vous aimeriez vous déplacer plus efficacement d’un pavillon à un autre (à pied, via les tunnels)?  C'est aussi une belle façon de connaitre différents services offerts sur le campus et où sont situés les arrêts du Réseau de transport de la Capitale (RTC)! Voilà ce que vous propose DéambUL, une géoapplication gratuite qu’on peut télécharger sur AppStore ou Google play et consulter sur un téléphone intelligent, qui nous localise, offre une carte du campus de l’Université Laval et nous propose différents parcours thématiques.

En savoir plus sur DéambUL

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Les causes du traitement des délais de demandes d'immigration

25 août 2022

Adèle Garnier était en entretien dans l’émission Le Matin du Nord de Sudbury de Radio-Canada pour parler d'immigration en réponse au point fait sur l'immigration par le ministre fédéral de l'immigration Sean Fraser hier.
Elle parlait des causes du traitement des délais de demandes d'immigration et de leur impact souvent dramatique sur les personnes qui font des demandes. 

Pour écouter l'entretion :Rattrapage du jeudi 25 août 2022 (radio-canada.ca) Le jeudi 25 aout 222

Photo : The voice of Canadian immigration

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Une étude pour mieux se préparer aux vagues de chaleur à Québec

09 août 2022

Les fins de semaine chaudes et humides seront de plus en plus nombreuses dans les prochaines années. C’est pourquoi la Ville de Québec a commandé une étude sur le sujet afin de s’y préparer.

« Une des façons dont on va procéder, c'est qu'on va disposer des capteurs de température à travers la Ville de Québec dans différents quartiers, en tenant compte des propriétés donc en tenant compte du nombre d'espaces verts, la quantité de rues, indique Marc-André Bourgault, responsable de l'étude et professeur adjoint au Département de géographie de l’Université Laval, au micro de l'émission C'est encore mieux l'après-midi. L'équipe du professeur Marc-André Bourgault souhaite ensuite projeter les données qu'ils auront reçues à travers différents scénarios climatiques jusqu'en 2090.

Cette étude dirigée par l'équipe de l'Université Laval a fait l'objet de 2 reportages diffusés le 5 août sur Radio-Canada.ca.

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Projet de recherche au parc du Marais

08 août 2022

Les 25 et 26 juillet derniers, les étudiant-e-s de la maîtrise en biogéosciences de l'environnement ont parcouru le parc du marais à Montmagny pour faire la caractérisation des milieux naturels et l'étude des plantes et des animaux. La compilation des données recueillies permettra de proposer des aménagements fauniques et floristiques afin d'améliorer la naturalité du secteur, sa bidiversité et l'expérience des visiteurs. L'équipe sur le terrain était encadrée par la chargée d'enseignement Danielle Cloutier et la technicienne experte Martine Lapointe.

Un résumé de cette activité a été publié dans le journal L’oie Blanche.

Lire l'article complet en page 13 du journal.

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Décès de M. Denis Brière, ancien doyen de la Faculté et ancien recteur.

12 juillet 2022

M. Denis Brière est décédé le 8 juillet dernier à l'âge de 76 ans. Denis Brière a été doyen de la Faculté de foresterie et de géomatique de l'Université Laval de 2000 à 2007. Il est aussi diplômé de la Faculté en génie forestier. Au cours de ses années au décanat, Denis Brière s'est engagé activement dans le développement de la faculté et dans un rayonnement accru de toutes les composantes de l'Université Laval. Ensuite, en 2007, M. Brière est élu 25e recteur de l'Université Laval.

Tout au long de sa carrière, il a grandement contribué au rayonnement et au développement de la foresterie mais également de l'Université Laval. La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique tient à offrir ses sympathies à la famille de M. Brière.

Né à Sainte-Martine, Denis Brière étudie au Collège de Beauharnois avant de compléter son cours classique (baccalauréat ès arts) en 1968 au séminaire de Valleyfield. Il y reçoit une bourse d'études de la Ligue provinciale de football du Québec, en 1967 (joueur défensif de l'année). En 1972, il obtient un diplôme de la Faculté de foresterie et de géomatique de l'Université Laval. En 1979, il obtient son doctorat en aménagement du territoire de la Faculté de foresterie de l'University of British Columbia, à Vancouver, où il enseigne aux trois cycles de 1977 à 1980.

De 1979 à 1980, il est président du Comité fédéral-provincial pour l'évaluation des politiques environnementales (Colombie-Britannique). En 1981, Denis Brière revient au Québec et se joint à la Société d'énergie de la Baie-James. De 1982 à 1987, il oeuvre au sein de l'Institut canadien de recherche en génie forestier avant d'assumer le poste de vice-président et directeur général de la Division des bois et forêts chez Kruger inc., de 1987 à 1996.

En 1994, il est nommé ingénieur forestier de l'année par l'Ordre des ingénieurs forestiers du Québec. Cette distinction souligne son importante contribution dans l'organisation d'un forum provincial sur la recherche forestière au Québec. Il reçoit à nouveau ce prix en 2006, conjointement avec trois professeurs, pour sa contribution au développement de la Faculté de foresterie et de géomatique et la construction du pavillon d'enseignement et de recherche Gene-H.-Kruger.

De 1996 à 1998, M. Brière est président et chef de l'exploitation de Produits forestiers Kruger inc. qui emploie plus de 2000 personnes et possède un chiffre d'affaires annuel de 500 millions de dollars. De 1998 à 2000, Denis Brière devient président et chef de la direction du Groupe Comact, chef de file nord-américain dans la conception et la fabrication d'équipements destinés aux usines de transformation du bois. Cette période est caractérisée par une importante implication dans divers conseils d'administration, dont celui du Conseil de la recherche forestière du Québec, pour lequel il assume la présidence. (Tiré de la biographie de l'Université Laval)

Il a ensuite poursuivi sa carrière à l'Université Laval prendant plus de 17 ans comme doyen de la Faculté en 2000 et ensuite recteur de 2007 à 2017.

Consultez l'article détaillé sur Ulaval nouvelles

Avis de décès

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Un fructueux dialogue sur les rivières

23 juin 2022

Pendant six jours, des autochtones et des allochtones ont échangé sur ces grandes étendues d’eau, véritable patrimoine culturel et naturel pour les Premiers Peuples, et ce, depuis des millénaires.

Entre le 14 et le 19 septembre 2021, un séminaire organisé conjointement par la Corporation du Mushuau-nipi et la Chaire de recherche du Canada en patrimoine et tourisme autochtones de l’Université Laval s’est tenu à cet endroit accessible uniquement par hydravion. Pendant six jours, 20 participantes et participants ont partagé leurs réflexions sous une grande tente traditionnelle innue. Il y avait des membres des communautés innue, atikamekw et wendat, ainsi que des professeurs, des professionnels et des étudiants principalement de l’Université Laval. La rencontre s’est déroulée sur le thème «Rivières et relations».

«Ce séminaire nordique visait à ouvrir un dialogue sur les rivières en tant que patrimoine culturel-naturel autochtone, explique Caroline Desbiens, professeure au Département de géographie et titulaire de la Chaire. L’objectif était de réfléchir ensemble à la manière dont on pourrait développer, comme chercheurs, étudiants et membres de communautés autochtones, une approche qui présenterait les grandes rivières nordiques d’abord comme des milieux de vie pour les peuples du Nord et pas uniquement comme une ressource naturelle.»

  • Lire l'article complet sur Ulaval nouvelles
  • Visionner une vidéo sur le séminaire ayant pour thème «Rivières et relations"
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Polluantes, les bases en Antarctique?

08 juin 2022

Dermot Antoniades, professeur au Département de géographie de l’Université Laval et membre du Centre d’études nordiques, et son équipe ont mené des analyses sur des échantillons provenant de lacs à proximité de bases de recherche en Antarctique, démontrant ainsi l'impact de leurs activités sur les écosystèmes autrement vierges de cette région.

Ces résultats contribuent à conscientiser les occupants des différentes bases – Chiliens, Uruguayens, Argentins… – aux effets de l’utilisation des combustibles fossiles et suggèrent que l’utilisation d’énergies renouvelables non polluantes pourrait prévenir les conséquences négatives que les bases de recherche ou tout autre développement en milieux polaires font subir aux écosystèmes. Ces données peuvent s’appliquer aux régions subarctique et arctique québécoises, où des projets de développement économique sont en cours ou dans les cartons.

Lire le texte pblié à ce sujet sur le site web du Fonds de recherche du Québec

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L'incroyable science derrière les organismes qui vivent à -200 degrés Celcius

13 mai 2022

On trouve bien plus de vie que l'on pense dans les endroits les plus froids de la planète. En entrevue à l'émission radiophonique « Moteur de recherche », Marie Alibert, étudiante au doctorat en sciences géographiques à l'Université Laval, fait le point sur les formes de vie qu'on pourrait trouver dans les endroits les plus froids de la planète. 

Écoutez l'entrevue sur Radio-Canada Ohdio (diffusée le 11 mai 2022)

Écoutez en rattrapage l'émission complète du 11 mai 2022 mettant en vedette d'autres étudiant-e-s du Centre d'études nordiques (CEN).

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Comment cultiver la fibre de la conservation chez les propriétaires de boisé

13 mai 2022

Une étude présentée au 89e congrès de l'Acfas par une équipe associée à la Chaire sur les enjeux sociaux de la conservation précise les pistes qu'il faut suivre pour susciter l'adhésion de ces propriétaires aux efforts de conservation et de mise en valeur des milieux naturels.

Parlvedee Dassachetty, du Département des sciences du bois et de la forêt de l'Université Laval, Jean-François Bissonnette, du Département de géographie de l'Université Laval, et leurs collègues de l'Université de Sherbrooke, Adriana Aquilar-Melo et Sophie Calmé, ont sondé 24 propriétaires de boisé privé à ce sujet. Résultats? Les chercheurs ont identifié 49 éléments qui font obstacle à l'intention des répondants de participer aux efforts de conservation et 19 éléments qui favorisent leur engagement à cette cause.

Lire l'article complet sur Ulaval nouvelles

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Déploiement de l’application DéambUL

06 mai 2022

DéambUL est une Géo-application gratuite, disponible sur Google Play et App Store, qui vous localise sur une carte et qui propose deux grandes fonctionnalités, se déplacer d'un lieu à l'autre sur le campus et découvrir des parcours thématiques, tels que le parcours du développement durable ou des parcours pour découvrir l'art public.

À l'occasion du congrès de l’ACFAS, l’application DéambUL a été déployée pour des premiers tests. Les activités du congrès de l’ACFAS y sont recensées, ainsi que leur horaire. Les parcours thématiques vous proposent de découvrir le campus, via une série de points d’intérêt et tout cela en prenant une marche santé! En plus des activités de l’ACFAS, des arrêts de bus et des services aux étudiants, plus de 10 parcours thématiques sont proposés, venez donc les découvrir, simplement télécharger l’app DéambUL.

Lien Google Play (Android) : https://play.google.com/store/apps/details?id=ca.ulaval.deambul 
Lien App Store (Apple): https://apps.apple.com/us/app/d%C3%A9ambul/id1611209926 

L’application DéambUL a été conçue et développée en quelques mois par une équipe formée de Suzie Larrivée et Jacynthe Pouliot de la FFGG, Stefano Biondo, Martin Ouellet, Alexandre Robert-Tessier de la Bibliothèque (Centre Géostat) ainsi, et surtout, avec le travail d’étudiants de 1er cycle de la faculté dans le cadre de stages de formation (Alexandre Paradis, Marie-Claude Bouchard, Claire Horsin et Marius LeMarechal). De plus, nous soulignons la participation à différents niveaux de Martine Lapointe, Sonia Rivest, Daniel Forget et Julie Ferland et le soutien financier de la faculté FFGG, du département SCG, du centre Géostat et du BVE.  

Ce sont les premiers tests de déploiement qui sont effectués grand public à l’occasion de l’ACFAS. DéambUL est donc toujours en développement, n’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires. Si les tests lors du congrès de l’ACFAS sont concluants, on souhaite que l’application DéambUL trouve une certaine pérennité dans sa disponibilité à l’Université Laval (ex. nouveaux étudiants, promotion variée d’activités, congrès, etc).

Bon congrès et bonne navigation de l’équipe des DéambULeux!
 

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Alexis Achim, nommé vice-doyen à la recherche

27 avril 2022

Alexis Achim, professeur-chercheur sera le prochain vice-doyen à la recherche de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG) à partir du 1er mai 2022. Il succédera à Jacynthe Pouliot qui occupait ce poste depuis quatre ans. Nancy Gélinas, doyenne de la Faculté a tenu à souligner le travail de restructuration du vice-décanat à la recherche réalisé par Mme Jacynthe Pouliot ainsi que la grande qualité de ses interventions dans différents dossiers lors de son passage comme vice-doyenne à la recherche.

Selon Mme Gélinas, « M. Alexis Achim sera un atout important pour la FFGG, il pourra partager son expérience et accompagner nos chercheurs et chercheuses dans leurs démarches de financement. De plus, ses projets étant déjà à l’interface de la science du bois, des sciences forestières, de la géographie (via la dendrochronologie) et de la géomatique (via le LIDAR), il deviendra rapidement un vecteur d’innovation pour nos trois départements. Son expérience de gestion à titre de directeur du Centre de recherche sur les matériaux renouvelables (CRMR) témoigne de ses compétences pour être à la tête de l'équipe du vice-décanat à la recherche ».

Alexis Achim a obtenu son baccalauréat en aménagement et environnement forestiers de l’Université Laval. Après avoir obtenu un doctorat en sylviculture de la même institution en 2004, il s’est joint à l’institut Forest Research à Édimbourg en Écosse où il œuvrait comme chercheur en biomécanique des arbres et en sciences du bois. Il est revenu à l’Université Laval en 2007 en tant que professeur de sylviculture. Son programme de recherche relie les pratiques forestières à la valorisation du bois en tant que matériau renouvelable « par excellence ». Il a dirigé le Centre de recherche sur les matériaux renouvelables de l’Université Laval de 2017 à aujourd’hui et il a récemment lancé avec plusieurs partenaires à l’échelle canadienne le projet de recherche Silva21 qui vise à adapter la sylviculture à la réalité des changements climatiques. Il est également membre de l'Ordre des ingénieurs forestiers du Québec et membre associé au Centre d’étude de la forêt.

 

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Dialogue sur les rivières comme patrimoine culturel et naturel autochtone.

26 avril 2022

La Chaire de recherche du Canada en patrimoine et tourisme autochtones a réuni des membres de la communauté étudiante et de la recherche ainsi que des partenaires, autochtones et allochtones, sur le site du Mushuau-nipi, aux abords de la rivière George en septembre dernier du 14 au 19 septembre 2021. Le séminaire intitulé « Rivières et relations » visait à ouvrir un dialogue sur les rivières en tant que patrimoine culturel-naturel autochtone. Cette rencontre a réuni des membres des premiers peuples Innu, Atikamekw Nehirowisiw, Wendat, ainsi que des personnes allochtones. 

Une vidéo a été produite afin de partager la richesse des échanges qui ont eu lieu et du site du Mushuau-nipi. On y voit notamment, Caroline Desbiens et Justine Gagnon, professeures-chercheuses du Département de géographie et responsables de la Chaire de recherche du Canada en patrimoine et tourisme autochtones en compagnie de plusieurs autres professeur(e)s provenant d'autres universités. Plusieurs autres interventants partagent leurs propos que ce soit des étudiant(e)s, partenaires, autochtones, etc. 

La Chaire de recherche du Canada en patrimoine et tourisme et autochtones tient à remercier les gardien.nes du territoire ainsi que toute l’équipe du Mushuau-nipi!

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Dévoilement des récipiendaires des Prix Enseignement et Encadrement de la FFGG.

19 avril 2022

Les Prix Enseignement et Encadrement de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique sont de retour cette année. Pour cette nouvelle édition, les candidatures devaient être soumises uniquement par des membres de notre communauté étudiante. Un comité formé de 6 membres étudiants (1 par association) ainsi qu’un membre du personnel représentant la Faculté ont analysé les candidatures et sélectionné les récipiendaires.

Prix «Enseignement - corps professoral» - Jean-François Bissonnette

Le prix «Enseignement - corps professoral» vise à reconnaître publiquement l’excellence de l'enseignement d'une professeure ou d'un professeur à la Faculté. Pour le concours 2022, le prix a été remis à un membre du corps professoral du Département de géographie. Il s'agit de Jean-François Bissonnette, professeur-chercheur spécialisé en développement durable du territoire et en agroforesterie.  Sa candidature a été soumise par deux groupes d'étudiantes et étudiants au baccalauréat en développement durable du territoire qui ont grandement apprécié sa disponibilité, son habileté à présenter une matière claire et pertinente et son ouverture à l’échange et aux discussions.  Selon ceux-ci, "il verbalise très bien les concepts qui peuvent parfois être plus techniques et complexes. Son travail et ses recherches le passionnent et il transmet cette énergie à travers son enseignement".  

Prix «Enseignement - autre personnel enseignant» - Dominic Toupin

Le prix «Enseignement - autre personnel enseignant»  vise à reconnaître publiquement l’excellence de l'enseignement de la part du personnel enseignant non membre du corps professoral, tel que les responsables de travaux pratiques, responsables de formation pratique, chargé(e)s d’enseignement, chargé(e)s de cours et professionnel(le)s responsables d’un ou plusieurs cours à la Faculté. Dans le cadre du concours 2022, le prix a été remis à un membre du personnel enseignant non membre du corps professoral du Département des sciences du bois et de la forêt. Le récipiendaire est Dominic Toupin qui est chargé de cours depuis de nombreuses années. Selon les étudiants qui ont transmis sa candidature: "il offre des conseils très pertinents en vue de nos futures responsabilités professionnelles et son attitude "terre-à-terre" nous ramène à ce qui est important dans le domaine". De plus, ils ont tenu à souligner son dynamisme même dans le cadre de l'enseignement à distance en raison de la pandémie. Selon eux, "M. Toupin était sans hésitation l'enseignant le plus dynamique. Il savait exploiter le meilleur des plateformes en ligne comme Teams, créer des discussions de support pour les laboratoires, etc. Il a su rendre son cours intéressant et pertinent dans nos apprentissages malgré les circonstances et n'a pas eu peur d'apprendre à maitriser de nouveaux outils pour y parvenir". 

Prix «Encadrement» - Sylvie Daniel

Le prix «Encadrement»  vise à reconnaître publiquement l’excellence de l'encadrement aux cycles supérieurs d'une professeure ou d'un professeur de la Faculté. Pour le concours 2022, le prix a été accordé parmi le corps professoral du Département des sciences géomatiques. Le prix a été remis à Sylvie Daniel, professeure-chercheuse en géomatique et spécialisée notamment en acquisition de données, traitement d’image et réalité augmentée. Six étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs ont appuyé sa candidature. Selon ce groupe, "elle peut être considérée sans doute comme un modèle de professeure vis-à-vis l’encadrement de ses étudiants gradués.  Le dévouement de Sylvie pour la réussite de ses étudiants gradués est remarquable à plusieurs niveaux, dans l’encadrement avec les rencontres hebdomadaires, dans les retours constructifs des documents et dans son ouverture d’esprit concernant les directions à prendre pour les projets de recherche. Sylvie est sans doute une source d’inspiration concernant la recherche scientifique car elle transmet son intérêt personnel à travers chacun des projets et des démarches entreprises par ses étudiants."

À chaque année, une rotation des catégories se fera à travers les 3 Départements et permettra ainsi de mettre en valeur le travail des intervenants autant au niveau de l'enseignement que de l'encadrement. En 2023, le Prix "Enseignement - corps professoral" au sein du Département des sciences géomatiques, le prix "Enseignement - autre personnel enseignant" sera remis dans le Département de géographie et le récipiendaire du prix "Encadrement" sera dans le Département des sciences du bois et de la forêt.

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403 000$ ont été remis en bourses en 2021-2022 à 95 boursières et boursiers

14 avril 2022

La cérémonie des bourses de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG) a eu lieu le 13 avril dernier en mode virtuel sous le thème "Honneurs en plein air". Ce fut l'occasion de souligner et d'honorer les 95 boursières et boursiers 2021-2022. Plus de 403 000$ ont été remis en bourses!

La doyenne de la FFGG a tenu à souligner l'engagement et l'excellence des étudiantes et des étudiants dans les trois départements. Elle a également présenté les nouvelles bourses qui ont été créé cette année dont la bourse Belle Audace-Thérèse Sicard, les bourses d'admission en génie géomatique - 1er cycle et les bourses Nathalie Pratte en environnement.

Le retour des Prix Enseignement et Encadrement a également été mentionné et les récipiendaires ont été dévoilés. Notons que les gagnants de ces prix sont entièrement décidés par un jury composé de six représentants étudiants et d'un membre de la direction. Les 3 gagnants étudiants des Prix rayonnement ont aussi été présentés.

Découvrez la Galerie des remerciements où il est possible, à travers de courtes capsules vidéos, d'entendre des membres de notre communauté étudiante qui ont tenu à remercier et à témoigner leur reconnaissance auprès des donatrices et donateurs. https://www.ffgg.ulaval.ca/galerie-remerciements

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Manque d’eau : les étés secs malmènent les agriculteurs

14 avril 2022

La météo ne fournit plus assez d’eau aux agriculteurs du Québec. La récurrence d’étés secs force bon nombre d’entre eux à creuser la terre plus profondément pour trouver en quantité suffisante cette ressource naturelle qui leur est indispensable.
Interventions de Frédéric Lasserre, professeur titulaire au département de géographie de l'Université Laval. Reportage de Météo Média

 

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Yvonne Tremblay inscrite au certificat en tourisme durable est lauréate des Grands prix de la relève en tourisme.

08 avril 2022

Yvonne Tremblay, étudiante au certificat en tourisme durable est lauréate du prix dans la catégorie universitaire – certificat de 1er cycle remis lors des Grands prix de la relève en tourisme de l’Association québécoise de la formation en restauration, tourisme et hôtellerie (AQFORTH).

Elle a réalisé un baccalauréat en science politique à l’Université Laval dans les années 90. Elle est ensuite retournée dans sa région natale, le Kamouraska. Déjà à cette époque, elle avait le goût et la volonté de développer et de dynamiser sa communauté locale et régionale en mettant à profit sa formation, ses expériences de travail et ses implications bénévoles. Elle a été tour à tour, journaliste, libraire, attachée politique et agente de développement. C’est un retour dans le secteur touristique depuis avril 2018, comme agente en tourisme qui lui permet aujourd’hui d’être une relève d’expérience dans le secteur touristique.

Elle réalise depuis 2019, à temps partiel, le certificat en tourisme durable offert par l’Université Laval et pouvant être suivi entièrement à distance. De plus, elle excelle dans son parcours tout en conciliant travail et études en conservant une excellente moyenne de 4,07/4,33. Elle s’implique également comme représentante étudiante dans le comité de programme visant à assurer la qualité et l’amélioration continue de la formation.

Elle est depuis 2021, directrice générale de l’organisme Promotion Kamouraska et gestionnaire du bureau d’information touristique située à La Pocatière ce qui lui permet d’agir directement sur le terrain et de recevoir les touristes durant la période estivale. Cette année encore, tous les préposés à l’information touristique dans l’ensemble de la MRC de Kamouraska recevront une formation afin de sensibiliser les touristes en matière de développement durable. De plus, elle collaborera à l’élaboration d’un nouvel outil des bonnes pratiques en matière de tourisme durable qui sera disponible dans le guide séjour du Kamouraska, sur le nouveau site Internet de Tourisme Kamouraska et sur l’ensemble des sites Internet des municipalités du Kamouraska.

Elle mentionne que « tout porte à croire que depuis deux ans, les Québécois redécouvrent notre territoire, son cadre champêtre et l’accessibilité de ses eaux. La villégiature a été grandement privilégiée par la population depuis 48 mois ainsi que la nature comme cadre d’attractivité. J’ambitionne de faire vivre l’expérience kamouraskoise aux touristes, qui sera respectueuse de la population et de l’environnement, tout en soutenant et promouvant les pratiques durables des entreprises et des intervenants du secteur. Je souhaite mettre en place une vision du développement durable en tourisme via l’offre touristique au Kamouraska. »

L’excellence dans ses études et sa grande contribution dans le secteur touristique font en sorte qu’elle mérite toutes nos félicitations pour l’obtention de ce prix de la relève en tourisme de l’Association québécoise de la formation en restauration, tourisme et hôtellerie (AQFORTH).

Crédit photo: Christian Thériault

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Pascale Marcotte remporte le Prix hommage membre du personnel de l’éducation!

08 avril 2022

Pascale Marcotte a remporté le Prix hommage membre du personnel de l’éducation remis lors du concours des Grands prix de la relève en tourisme de l’Association québécoise de la formation en restauration, tourisme et hôtellerie (AQFORTH).

Mme Marcotte est professeure-chercheuse au Département de géographie de l’Université Laval. Elle enseigne notamment les cours « Création et mise en valeur des attraits touristiques » et « Tourisme et enjeux contemporains ». Elle s’occupe aussi de la supervision et de la coordination pour les stages et les projets d’intégration en tourisme durable. Elle dirige près de 10 étudiant(e)s à la maîtrise et au doctorat et elle est directrice du certificat en tourisme durable.

Les étudiantes Sandra Arruda, Diane Gauthier, Maud Gagné, Mélanie Bellefleur, Mathilde Foy-Legault ont grandement collaboré à la présentation de sa candidature. Selon celles-ci, « Mme Marcotte est une personne accueillante, accessible et souriante auprès d’autrui. Son respect et son écoute la démarquent grandement. C’est une professeure qui est dynamique dans la façon de présenter la matière de ses cours, qui connait et maitrise bien différents sujets en lien avec le tourisme et qui partage les pratiques innovantes dans ce domaine. C’est un art de vulgariser des écrits scientifiques et de transmettre la matière tout en faisant en sorte que les étudiant(e)s soient bien informés et acquiert des compétences utiles et pertinentes tout en s’assurant de leur compréhension ».

Selon ces mêmes étudiantes, elle se montre très disponible, même en temps de pandémie, par visioconférence et par courriels pour répondre aux questions, offrir du support dans la matière et pour donner des rétroactions. « Elle fait preuve d’ouverture et de flexibilité autant dans le choix des sujets pour les travaux scolaires mais aussi lorsque les étudiant(e)s ont des soucis dans leur vie personnelle. Avant même que les étudiant(e)s soient inscrits dans le programme, elle se montre accessible et trouve toujours le temps de répondre avec respect. Elle assure un suivi remarquable de l’admission jusqu’à la fin des études ».

Elles ajoutent également qu’elle sort des sentiers battus dans la façon d’enseigner la matière en tourisme et ne mise pas sur la théorie mais plutôt sur la mise en application concrète des notions vues dans les cours. « La matière qu’elle enseigne porte sur des sujets toujours d’actualité comme le « van life », les campings illégaux, l’après COVID-19 en tourisme, le yoga comme nouvelle pratique de tourisme spirituel pour en nommer que quelques-uns. Elle maitrise également très bien l’enseignement à distance avec des capsules narratives, des interactions favorisant la participation ainsi que des cours en version comodale permettant d’avoir accès à une flexibilité de mode d’enseignement tout en assurant une dynamique d’apprentissage ».

Comme vous pouvez le constater, sa façon d’enseigner est extrêmement appréciée des étudiant(e)s et ceci montre la grande reconnaissance qu’ils ont envers sa contribution à l’éducation de la relève en tourisme durable.

Pascale Marcotte a été très proactive dès son entrée en fonction comme directrice du certificat en tourisme durable et elle a apporté et suggéré des modifications importantes l’année dernière à la structure du programme permettant ainsi une plus grande offre de cours directement liées au tourisme. De plus, elle a grandement contribué à la mise en place de plusieurs écoles d’été au fil des années dont une dans Charlevoix portant sur l'apport du terroir dans l'attractivité des territoires touristiques et dans l'innovation en tourisme et une autre portant sur l’imaginaire touristique des Caraïbes qui s’est déroulée en Martinique. Une troisième école « Tourisme et transformation des territoires » aura lieu du 15 au 20 mai 2022 dans les Cantons-de-l’Est.

Pascale Marcotte est également une chercheuse reconnue qui a su adapter ses recherches rapidement et ainsi traiter de sujets pertinents à l’industrie touristique en temps de pandémie. Pensons notamment au projet « Patrimoine mondial et patrimoine local à l’ère de la Covid-19. L’exemple de Québec » ou « Randonnée pédestre en montagne. Ruée vers l’or vert » ainsi que le séminaire annuel de la Chaire de recherche en partenariat sur l’innovation en tourisme qui a porté sur la recherche en tourisme en temps de pandémie. Elle s’implique aussi au sein du réseau international UNESCO/UNITWIN « Culture-tourisme-développement » et est membre des comités scientifiques des revues Téoros, Études Caribéennes, Récréation et Via Tourisme .

Pascale Marcotte est une professeure flexible, appréciée et accessible qui tente de trouver ce qui convient le mieux pour ses étudiant(e)s. C’est une personne cordiale et bienveillante pour le bénéfice de ses étudiant(e)s. Le Prix hommage membre du personnel de l’éducation met en lumière son dévouement, ses efforts ainsi que la reconnaissance de ses étudiant(e)s envers son travail remarquable.

 

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Plusieurs de nos chercheuses et chercheurs organisent différents colloques dans le cadre du congrès de l’Acfas.

04 avril 2022

Le 89e Congrès de l'Acfas, organisé en collaboration avec l'Université Laval, se déroulera, du 9 au 13 mai 2022 sous le thème Sciences, innovations et sociétés. Une semaine complète d'événements, de colloques et de discussions sur la recherche et les savoirs. Nos chercheuses et chercheurs de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique proposent plusieurs colloques sous des thèmes diversifiés touchant à la conservation, l'environnement, la géomatique, la foresterie, la transformation du bois, le développement durable, l'immigration et la mobilité. Découvrez les colloques liés à notre Faculté:

 

Pour s'inscrire et consulter la programmation complète

 

 

 

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Intervenante de proximité-nouvelle ressource d'aide à la FFGG

04 avril 2022

Nous souhaitons vous informer que la Faculté de foresterie, géographie et géomatique (FFGG) a maintenant une intervenante de proximité, Geneviève Houde, dans le cadre d’un projet pilote opéré par le Centre d’aide aux étudiants (CAE). Principalement, ce projet vise à offrir à la communauté étudiante des services de soutien psychosocial de proximité dans le but de favoriser leur bien-être psychologique, leur santé mentale et leur réussite scolaire.

Le rôle de Geneviève sera de soutenir les étudiantes et les étudiants qui traversent une période difficile en leur offrant un service d’accompagnement personnalisé et en les orientant, si besoin est, vers les ressources d’aide du campus et les ressources externes. De la même façon, elle pourra soutenir le personnel de la faculté dans la gestion de situations complexes avec les étudiantes et étudiants. Les rencontres avec les étudiantes et les étudiants sont confidentielles, gratuites et sont offertes en présentiel à son bureau ou en visioconférence via TEAM.

"À titre d’intervenante dans l’équipe psychosociale du Centre d’aide aux étudiants (CAE), c’est avec grand plaisir que j’ai intégré votre faculté depuis déjà quelques semaines. Mon rôle vise principalement à offrir des services de soutien et d’écoute aux étudiants afin de favoriser leur bien-être psychologique et leur cheminement scolaire. Les étudiants peuvent directement communiquer avec moi pour bénéficier de rencontres individuelles gratuites et confidentielles à même le pavillon Abitibi-Price au local 1151-C ou par TEAM. Mon rôle consiste également à soutenir et conseiller la direction, l’équipe enseignante ou responsables de stages, le personnel de la gestion des études et les associations étudiantes de la FFGG en cas de besoin.  N’hésitez-pas à faire appel à moi et me référer aux étudiants. La façon la plus efficace et rapide de me contacter est par courriel : Genevieve.Houde@aide.ulaval.ca " 

Elle est disponible généralement entre 8 h30-12h et entre 13h-16h30, du lundi au vendredi. Ses disponibilités sont partagées avec la FSAA. Elle sera présente physiquement à la FFGG les mardis et les jeudis. En cas d’urgence, nous vous invitons à contacter les ressources d’aide disponibles en tout temps: 811, Centre de prévention du suicide (418-683-4588), le Centre de crise de Québec (418-688-4240).

Parfois, d’avoir le point de vue extérieur d’une autre personne sur une situation que l’on vit peut nous aider à prendre une saine distance avec celle-ci. Il ne faut pas hésiter à aller chercher de l’aide. Si vous hésitez à la contacter, vous pouvez passer par la coordination du centre ou toute personne de confiance et je pourrai vous référer de façon anonyme.

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Intervention de Kim Pawliw sur les Ukrainiens à Montréal

10 mars 2022

Quand il veulent se rassembler, les Ukrainiens de Montréal savent où aller: c’est dans Rosemont que la communauté se retrouve pour célébrer sa culture.
Kim Pawliw, doctorante en sciences géographiques sous la direction d’Etienne Berthold  de l’Université Laval, s’est penchée sur la questionLien pour lire les articles

Le journal Metro du jeudi 10 mars 2022
Rosemont,le quartier où bat le cœur des Ukrainiens de Montréal

Le Journal de Montréal  du samedi 5 mars 2022
Le Canada, un pays aux riches racines ukrainiennes

Radio Canada Mauricie Centre-du-Québec le samedi 5 mars 202
Entrevue au téléjournal de Radio Canada Mauricie Centre-du-Québec concernant la guerre en Ukraine. (vers 3:50 minutes)

Photo: Kim Pawliw
La rue de l’Ukraine

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Les conséquences du conflit en Ukraine vu par deux de nos professeurs de géographie

10 mars 2022

Frédéric Lasserre et Adèle Garnier se sont exprimés dans différents médias concernant le conflit en Ukraine. Découvrez leurs interventions.


Interventions de Frédéric Lasserre, professeur titulaire au département de géographie de l'Université Laval et expert en géopolitique arctique

 


Interventions d'Adèle Garnier, professeure adjointe au département de géographie de l'Université Laval et spécialiste en migration internationale

 

PHOTOS :
Un train avec des réfugiés fuyant l’Ukraine traverse la frontière à Medyka, en Pologne, le 7 mars 2022 (AP Photo/Visar Kryeziu)
Les Forces armées canadiennes lors d’un entraînement au Nunavut, en 2019 (OTAN)

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À quoi sert la dendrochronologie ?

02 mars 2022

Madame Louise Filion, professeure émérite était à l’émission radiophonique Moteur de recherche de Radio-Canada du mardi 1er mars 2022 pour répondre à cette question.
L’animateur Matthieu Dugal et son équipe présentent une émission conviviale axée sur vos questions en matière de consommation, de technologie, de science, d’environnement et de santé, et vous proposent les meilleures réponses. 

Lien vers l’émission Moteur de recherche le mardi 1er mars 2022

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La Campagne Communauté ULaval 2022 est officiellement lancée à la FFGG!

01 mars 2022

Cette campagne sera à l'image de notre communauté: ambitieuse, engagée et solidaire. Visionnez la capsule de lancement de la Fondation de l'Université Laval et découvrez l’audace de nos équipes à réaliser de grands projets. Du 21 février au 30 avril, les membres du personnel employé et retraité de l’Université Laval sont invités à appuyer leur communauté et à contribuer à la campagne!

Découvrez plus spécifiquement les objectifs de la campagne CCU pour la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (.pdf), les retombées, des témoignages ainsi que les différents Fonds. Nous vous invitons également à visionner la capsule vidéo de la doyenne, Mme Nancy Gélinas dans laquelle elle vous invite à poser un geste concret et à contribuer à notre relève.

Parce qu’ensemble, nous allons bien plus loin!

Faites un don!

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Quand les arbres vous tombent sur la tête

23 février 2022

Dans un article paru dans La Presse, Martin Simard, professeur-chercheur au Département de géographie et membre du Centre d'études de la forêt présente les risques possibles des arbres dans le cadre de la randonnée pédestre dans des boisés largement fréquentés. Voici quelques extraits de l'article en lien avec ses propos:

"Évidemment, ce ne sont pas tous les arbres et toutes les branches qui risquent de nous tomber sur la tête. "Ça dépend de la taille de l’arbre", souligne Martin Simard, professeur au département de géographie de l’Université Laval et membre du Centre d’études de la forêt. "Plus il est gros, plus il a des chances de tomber. Ça dépend de son exposition au vent, mais aussi de son état de décomposition. Plus il est vieux, plus il a des caries [des champignons qui peuvent dégrader le bois], plus il a des chances de tomber."

Il y a beaucoup de ces gros arbres affaiblis dans les vieilles forêts, mais aussi dans des forêts qui ont connu des perturbations, comme des infestations d’insectes ou des incendies.

"Ce qu’on veut faire, c’est limiter notre exposition, un peu comme en montagne, on cherche à limiter son exposition aux avalanches, commente M. Simard. Quand il y a de forts vents, il faut se poser la question : est-ce que je devrais aller faire de la randonnée ?" [...]

Il y a un autre péril qui guette les randonneurs insouciants : il ne faut jamais s’appuyer sur un arbre. "On ne lève pas nécessairement la tête pour voir s’il est mort, indique Martin Simard. Parfois, il a de l’écorce, on ne voit pas qu’il est mort. La petite poussée qu’on va donner, ça peut faire en sorte que l’arbre tombe. " Le secouer pour vérifier s’il est mort est encore pire. "Il n’y a rien de plus dangereux, affirme-t-il. C’est la tête de l’arbre qui est le point le plus fragile. Une branche peut se détacher et descendre à une bonne vitesse."

Lisez l'article complet paru sur La Presse par Marie Tison

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Projet ExPan : Partagez-nous les effets de la pandémie sur votre vie

18 février 2022

Projet: ExPan - Vulnérabilité, résilience et transition universitaire de la communauté étudiante en période de pandémie

Nous sommes présentement à la recherche d’étudiantes et d’étudiants inscrits au 1re cycle à l’Université Laval pour participer à un projet de recherche.

Objectif de l’étude :

  • Décrire l’expérience pandémique (actuelle et rétrospective) de la communauté étudiante inscrite au premier cycle à l’Université Laval en considérant les effets collatéraux sur la santé, l’éducation, le travail, la vie sociale et la famille.

Critères d’admissibilité :

  • Être une étudiante ou un étudiant inscrit au 1re cycle à l’Université Laval;

Implications :

  • Répondre à un questionnaire d’ici les 30 prochains jours (durée d’environ 40 minutes).

Compensations :

  • En participant au projet, vous pourriez gagner l’une des 13 cartes cadeaux de 100$ de la COOP Zone.

Si vous désirez participer, il suffit de cliquer ici afin de vous créer un compte PULSAR et ainsi avoir accès au formulaire de consentement et au questionnaire du projet.

Pour toutes questions, communiquez avec l’équipe de recherche aux coordonnées suivantes :
(418) 656-2131 poste 404005     projetexpan@fsaa.ulaval.ca

Cette recherche est sous la direction de Simon Larose et est co-dirigée par Adèle Garnier, Catherine Mercier, Chantal Desmarais, David Litalien, Geneviève Lessard, Jean-Philippe Drouin-Chartier, Jessica Darveau, Laure Saulais, Myriam Gauthier et Simon Colombe, tous chercheurs à l’Université Laval.

Partenaires :  Centre d'aide aux étudiants, Coop Zone

Ce projet a été approuvé par le Comité d’éthique de la recherche de l’Université Laval (No d’approbation 2021-298 / 11-01-2022).

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Félicitations aux participants du concours facultaire Ma thèse en 180 secondes – Édition 2022!

17 février 2022

Le 15 février se tenait le concours facultaire Ma thèse en 180 secondes en format virtuel! Nous tenons à féliciter l’ensemble des participantes et participants qui se sont prêtés au jeu, qu’ils soient membres de la communauté étudiante ou du corps professoral, car cela prend beaucoup de courage et de préparation pour relever un tel défi! Merci aussi à celles et ceux qui ont contribué à l’organisation de l’événement, à l’animation et au jury. Enfin, merci au public enthousiaste qui est venu encourager nos participantes et participants. Nous vous remercions chaleureusement pour votre engagement dans la vie facultaire !

Voici les récipiendaires des prix de 180$ du concours 2022 :

  • 1er Prix volet francophone – Bourse CRDIG : Pauline Perbet (FFGG-CRDIG)- Traduire l’histoire de la forêt avec l’intelligence artificielle. Pauline est étudiante au doctorat en sciences géomatiques sous la direction de Martin Béland.
  • 1er Prix volet anglophone – Bourse CEF : Varvara Vladimirova (FSG-CEF) – Can caribou prediction models facilitate other conservation strategies? Varvara est étudiante au doctorat en biologie sous la direction de Daniel Fortin.
  • Prix coup de cœur du public – Bourse CRMR : Luc Girompaire (FFGG-CRMR) – Place au bois apparent! Luc est étudiant à la maîtrise en génie du bois et des matériaux biosourcés sous la direction de Christian Dagenais.

Zihan Chen (FFGG-CRDIG) représentera la FFGG lors de la finale institutionnelle UL du volet anglophone du concours Ma thèse en 180 secondes en vue de représenter l’Université Laval à la finale de l’Est du Canada.

Pauline Perbet (FFGG-CRDIG) représentera la FFGG lors de la finale institutionnelle UL du volet francophone en vue de participer au concours « Ma thèse en 180 secondes » de l’Acfas.

Comité organisateur MT180s FFGG

Congratulations to the participants of the My thesis in 180 seconds – 2022 Edition!

On February 15, the My thesis in 180 seconds virtual competition was held! We would like to congratulate all the participants who took part in the game, whether they are members of the student community or faculty, because it takes a lot of courage and preparation to take up such a challenge! Thank you also to those who helped organize the event, hosted it and serve as judges. Finally, thank you to the enthusiastic public who came to encourage our participants. We thank you warmly for your commitment to faculty life!

Here are the winners of the $180 prizes of the 2022 competition:

  • 1st Prize – Francophone Section – CRDIG Scholarship: Pauline Perbet (FFGG-CRDIG) – Traduire l’histoire de la forêt avec l’intelligence artificielle. Pauline is a doctoral student in geomatics under the supervision of Martin Béland.
  • 1st Prize – CEF Scholarship: Varvara Vladimirova (FSG-CEF) – Can caribou prediction models facilitate other conservation strategies? Varvara is a PhD student in biology under the supervision of Daniel Fortin.
  • People’s Choice Award – CRMR Grant: Luc Girompaire (FFGG-CRMR) – Place au bois apparent! Luc is a master’s student in wood and bio-based materials engineering under the supervision of Christian Dagenais.

Zihan Chen (FFGG-CRDIG) will represent the FFGG at the UL institutional finals of the English-language component of the My Thesis in 180 Seconds competition in order to represent Université Laval at the Eastern Canada finals.

Pauline Perbet (FFGG-CRDIG) will represent the FFGG at the UL institutional finals of the French-language component in order to participate in the Acfas “Ma thèse en 180 secondes” competition.

Organizing FFGG MT180s Committee